Revue de presse

""On s’est fait partouzer" : Macron et le camp laïque, histoire d’une manipulation" (Marianne, 16 nov. 23)

(Marianne, 16 nov. 23). 17 novembre 2023

[Les éléments de la Revue de presse sont sélectionnés à titre informatif et ne reflètent pas nécessairement la position du Comité Laïcité République.]

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"Comment Macron a flingué le camp laïque"

""On s’est fait partouzer" : Macron et le camp laïque, histoire d’une manipulation".
""El-Khatmi est devenu complètement bourrin" : pourquoi Macron a flingué le Printemps républicain".
"Zineb El Rhazoui : comment Macron l’a draguée, puis humiliée".
"Chevènement et Macron : quand l’idylle vire à l’infamante désillusion".
"Souâd Ayada : figure républicaine piétinée par la Macronie pour avoir défendu (vraiment) la laïcité".
"De l’état de grâce à la guillotine : ce mois où Macron a joué avec l’honneur de Blanquer"

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« Pardon, le mot qui me vient est extrêmement vulgaire, mais on s’est fait partouzer, en fait… Dès qu’ils ont ­compris qu’ils avaient notre soutien, qu’on ne leur servait plus à rien, on est devenus transparents pour les Macron, Kohler, Guerini, Ferrand, Attal, Castaner. Comme si leurs beaux masques de gentils, à l’écoute, était tombé et qu’ils se délectaient de nous humilier… » La personne qui enrage de la sorte est de celles qui ont perdu le plus gros dans la bataille. Les « on » – qui se seraient fait « partouzer » –, ce sont ces autres personnalités qui sortent lésées de cette histoire. Tous les acteurs de ce récit réunissent en tout cas deux caractéristiques : avoir cru pouvoir défendre une France plus républicaine et laïque grâce à Emmanuel Macron, d’abord. Le regretter, ensuite.

De qui s’agit-il exactement ? De ceux que l’on désigne comme formant le camp laïque, les universalistes, les républicains. En l’occurrence, cette « famille » est beaucoup plus diverse sur le plan idéologique et politique que certains veulent le croire. Ceux qui nous intéressent étaient les plus macrono-compatibles de la troupe et, comme le Printemps républicain ou Zineb El Rhazoui, ont cru pouvoir devenir les alliés du président. Ils ont pensé orienter sa main. Ils s’y sont cassé les dents. Et ils regrettent aujourd’hui d’avoir traîné leurs guêtres dans cette basse-cour politicienne. D’y avoir tant cru. D’avoir imaginé, au passage, décrocher des places, notamment aux dernières législatives. Ces élections sont le point de bascule de notre récit : c’est à ce moment très exact, en juin 2022, que leur pas de deux avec Emmanuel Macron a pris fin. Qu’ils ont tous perdu. Ces législatives devaient être le point d’orgue du ralliement de leur camp à la majorité, par des postes de députés et de ministres. Au lieu de cela, Emmanuel Macron a eu leur ralliement sans leur donner le pouvoir – montrant par là le peu de considération pour les idées qu’ils portent.

Comme souvent avec les petites histoires macronistes, faites de zigzags, de triangulations et de revirements, il faut remonter quelques années en arrière pour mieux saisir cet épisode. En 2017, nos protagonistes n’étaient pas spécialement fans de la vision de la laïcité du président. Mais, même s’il l’avait longtemps mal comprise, ce séduisant dirigeant présidait, après tout, une « République ». Son approche libérale tendance deuxième gauche des débuts semblait, en 2022, avoir subi une sorte d’aggiornamento républicain. C’est bien Emmanuel Macron qui avait prononcé cet excellent discours des Mureaux sur la laïcité, en octobre 2020. C’est lui encore qui avait su se montrer à la hauteur après l’assassinat de Samuel Paty. C’est sous sa présidence qu’il avait été question de lutter contre le « séparatisme » et qu’avait été dissous le Collectif contre l’islamophobie en France. C’est lui enfin qui, en début d’année 2021, défendait brillamment la laïcité et le droit à la caricature sur la scène internationale. [...]

Après ces élections, l’affront à l’endroit de cette tendance républicaine et universaliste prend un tour officiel, quand Jean-Michel Blanquer cède sa place au ministère de l’Éducation nationale à Pap Ndiaye, son antipode. « C’était un message pour nous dire que notre déchéance était bien un assassinat politique, et que la séquence républicaine était finie », témoigne un cadre du Printemps républicain, mouvement qui a soutenu le président en 2022 et qui pensait obtenir 20 circonscriptions pour aller aux législatives, avant de n’avoir droit qu’à une seule. [...]

Et Macron lui-même, quelle est vraiment son opinion sur la laïcité, lui qui, encore ce 8 novembre, a profité de son passage au Grand Orient de France pour réaffirmer son attachement à cet idéal ? « Sa vérité sur les questions républicaines est sûrement qu’il n’a pas fait un “tournant républicain”, mais qu’il fait des tours sur lui-même. Que vaut Macron 2023 à partir du moment où il a montré en 2022 qu’il pouvait revenir à sa nature de 2017 à tout moment ? Peut-être fallait-il voir un signal quand il trouvait “beau” de voir une femme à la fois voilée et féministe durant l’entre-deux-tours » songe un ministre de poids du président. La preuve ? Cette « nature de 2017 » semble avoir à nouveau repris le Président, qui a, selon nos confrères de L’Express, convié à l’Élysée le très communautaire Yassine Belattar, ennemi juré des laïques, condamné en septembre pour menaces de mort. Est-ce donc ce Macron de 2017 qui est de retour ? Quand il appelait les laïques des « laïcistes » sujets à une « crispation identitaire » ? Quand il s’opposait farouchement, dans nos colonnes en 2016, usant du jargon des antilaïques de gauche, à la « laïcité revancharde » y voyant la « religion républicaine » de ceux qui veulent en faire « une arme contre un monothéisme, la religion musulmane » ? Quand il jurait à Mediapart, sur un ton qui rappelle le Mélenchon d’aujourd’hui, que « si les laïcistes gagnent en mai [2017] » il aura « perdu cette bataille, parce que, au fond, ce n’est pas la laïcité dont les gens parlent mais de leur rapport à l’islam » ?

Ou faut-il croire la nouvelle parade républicaine de septembre 2023 d’un Gabriel Attal ferme sur l’abaya à l’école ? La chose est d’autant plus étonnante que bien des personnes que nous avons interrogées témoignent du soin méticuleux qu’a mis Gabriel Attal pour écarter les défenseurs d’une vision républicaine durant les dernières nominations, en 2022. Pour mieux s’ouvrir la voie ensuite ? [...]

Trahis, c’était le premier titre du livre à paraître en janvier d’Amine El Khatmi. Ce sera finalement Cynisme, dérives et trahisons, sous-titré « Comment Macron et Mélenchon sont devenus les marchepieds du RN ». Il y racontera « comment Emmanuel Macron s’est servi des militants de l’universalisme et de la laïcité pour mener sa campagne avant de les écarter brusquement ». [...]

Élu en 2017, Macron attire tout de même les têtes pensantes du Printemps, qui prennent son parti en privé dans les milieux laïques, face aux « extrêmes » au pluriel. Les membres influents du Printemps républicain (Gilles Clavreul, Amine El Khatmi, feu Laurent Bouvet) essaient pendant plusieurs années d’influencer la ligne de la majorité, grâce à leurs relais, notamment Marlène Schiappa et Jean-Michel Blanquer. Ils aimeront à croire que le « tournant républicain » que va constituer la séquence sur le « séparatisme » (2020-2021) leur échoit.

Fin 2021, la présidentielle a commencé, ce sont des membres du gouvernement (Marlène Schiappa, Jean-Michel Blanquer, Agnès Pannier-Runacher et Sarah El Haïry) qui proposent explicitement au Printemps républicain de joindre leur combat à celui de la majorité. [...]

Amine El Khatmi, alors président de l’association, veut être candidat dans son département, à Avignon, c’est lui qui va tenter de dealer l’accord. Gilles Clavreul vise la deuxième circonscription du Gers. Ils demandent une vingtaine de circonscriptions, et le fait de garder son indépendance. S’ils reçoivent d’abord des signaux positifs, rapidement, la consigne reçue par Ferrand et Guerini devient la suivante : au préalable on fait réélire Macron, ensuite on discute circonscriptions. S’ensuit un festival de non-réponses. [...]

Mardi 10 mai 2022, journée de réunion de tous les candidats investis par Renaissance aux législatives, à Aubervilliers. Le Printemps n’a encore aucun candidat officialisé, et on devine que la situation est pliée. Cela fait pourtant plusieurs jours qu’Amine El Khatmi, à qui on a pourtant suggéré de garder son soutien d’entre-deux-tours pour lui afin de ne pas froisser l’électorat insoumis, reste prêt à prendre une circo n’importe où, et plus seulement du côté d’Avignon. Ses nerfs sont mis à rude épreuve quand son nom fuite dans la presse pour le Val-d’Oise, face à son grand ennemi Aurélien Taché, macroniste passé à la Nupes. Des 20 circos désirées, une seule sera obtenue : Marika Bret apprend le lendemain de cette réunion des candidats à Aubervilliers, où elle n’était donc pas, qu’elle fait partie des dernières circonscriptions attribuées… le tout via la presse sur Twitter. « Qu’on ait qu’une seule circo, et de cette manière, on a trouvé cela honteux, méprisant, scandaleux », raconte-t-elle. [...]

Benjamin Vulbeau, militant qui a quitté le mouvement à cette époque, voit la chose plus froidement : « L’aventure Printemps républicain aurait dû s’arrêter avec la loi séparatisme, nous avions gagné la bataille culturelle. Sauf que Macron, tueur à gage, les a attirés dans la brèche, et en politique il faut tuer ses alliés encombrants rapidement. Il a conduit les républicains à le soutenir pour, après les avoir utilisés, les rendre inoffensifs et les tuer. » [...]

« Je vois des gens de raison, des gens de bien, ici en France en 2023, justifier toute cette barbarie israélienne, cette folie meurtrière du gouvernement d’extrême droite de Netanyahou », avait-elle expliqué trois jours plus tôt. Par ces « gens de bien », Zineb [El Rhazoui] désigne de façon à peine voilée ses anciens alliés, ceux du camp laïque, globalement pro-Israël, dont elle ne supporte plus le double standard et leur déshumanisation des Palestiniens. [...]

Pour comprendre l’histoire de Zineb El Rhazoui et son ressentiment présent, il faut comprendre celle de son alliance ratée avec Emmanuel Macron. [...] De 2019 à 2022, la relation Macron-El Rhazoui se poursuit par textos. Tous les mois, le président répond dans l’heure. Il se montre affectueux [...]. Début 2022, l’ancienne journaliste surprend quand elle professe son soutien au président publiquement. [...]

Elle négocie ensuite une circonscription pour les législatives avec Stanislas Guerini et Richard Ferrand, au cœur du dispositif macroniste, en faisant cavalier seul, indépendamment de ses amis du Printemps républicain. Elle assume lorgner la dixième circo des Français de l’étranger [...].

En mars 2022, elle organise des dîners de levée de fonds pour la campagne Macron au sein de la communauté française à Dubaï, auprès de ces résidants d’un paradis fiscal. En France, elle croise Brigitte Macron, notamment lors d’un déjeuner de l’entre-deux-tours, à l’Élysée, dans une ambiance conviviale. Les deux femmes rient, parlent des combats de l’ancienne journaliste et du ministère de l’Éducation nationale, ce poste clé pour les laïques.

Le soir de la victoire d’Emmanuel Macron aux Invalides, elle se trouve dans la foule et claque la bise au chef de l’État. Ce sera la dernière. Et le début d’un déshonorant black-out. Avec l’amère impression que les Guerini, Ferrand et consorts ont refermé la porte du château, au sens propre, pour se partager le gâteau. Le mois de mai est un calvaire : on jette son nom en pâture sur une circo dont elle ne veut pas (la neuvième des Français de l’étranger), pour mieux la « cramer », comme on dit dans le milieu. Une photo avec l’influenceur droitier Papacito et son passé dans la non moins droitière maison d’édition Ring ressortent sur les réseaux sociaux. [...]

Le vrai tournant « macroniste » de « JPC » [Chevènement] date d’avril 2020, quand il perçoit un aggiornamento sincère dans le discours sur la reconquête de l’indépendance technologique, sanitaire et économique post-Covid du président. Le « pari » de Chevènement est alors lancé : influencer ce président flexible, issu d’un courant de pensée opposé au sien, pour aller vers une forme d’« union sacrée » (Chevènement utilise la formule dans un texte au Figaro). Pour enfin en finir avec le « régime des partis ».

En mai 2020, l’ancien de Belfort écrit un long courrier au président, une sorte de feuille de route stratégique, un programme pour la France d’une quinzaine de pages qui explique qu’il ne faut pas seulement des idées nouvelles, mais des hommes nouveaux pour changer de paradigme et sortir le président de l’écosystème d’En Marche. Les principaux objectifs – la reconquête de l’indépendance et le relèvement de la République – sont déclinés sur une vingtaine de propositions fortes. Les hommes imaginés pour constituer l’« union sacrée » ? Jean-Michel Blanquer au poste de Premier ministre. Puis le haut fonctionnaire David Djaïz, Hubert Védrine, Henri Guaino, Julien Aubert, et des figures proches du chevènementisme, comme Arnaud Montebourg et Bernard Cazeneuve. Au même moment, à la sortie du premier confinement, le président invite ses ministres à consulter Chevènement, à le chouchouter en laissant visibles sur leurs bureaux les petits cahiers bleus – des comptes rendus de colloques – que sa Fondation Res Publica édite régulièrement. Darmanin et Le Maire, surtout, s’exécutent. [...]

On parle de monter une structure politique républicaine qui s’agrégera au macronisme. Ladite structure prendra un peu plus tard le nom de Refondation républicaine. Un chiffre est évoqué : une quinzaine de circonscriptions, que Chevènement demande à Macron. Dans le même temps, JPC met au parfum ses troupes, qu’il bouscule, tant une grande partie reste hostile au macronisme. [...]

Le premier tour de la présidentielle arrive et « Jean-Pierre », déçu par le vide du programme macronien, a abattu ses meilleures cartes en professant son soutien dans la presse. Peu habitué à l’exercice, contrairement à d’autres qui attendent le dernier moment pour vendre plus cher leur appui. [...]

« En haut », Macron ne répond plus, ni idéologiquement ni stratégiquement. Tout comme il ne répond plus, tout court, au téléphone et aux lettres. « En bas », sur le terrain, une guerre de clans a lieu entre les différentes chapelles de Renaissance. En cause : la répartition des circonscriptions pour les législatives, où Horizons monnaye très cher son soutien. Mais quelle allure aurait Chevènement à se retirer maintenant ? Et pourtant, quand on lui apprend, début mai, le week-end avant la date butoir de la désignation des candidats, qu’il ne lui reste plus que quatre circonscriptions à peine gagnables, Chevènement pense à renverser la table, comme il l’a toujours fait quand il ne veut plus « fermer sa gueule ». Il pique une colère, contre l’arrogance de cette Macronie qui ne lui répond plus, contre Alexis Kohler, secrétaire général de l’Élysée, qu’il n’a jamais aimé et qui incarne l’exact inverse de ses combats. Et contre Macron. Voilà un mois qu’il est patient et que cet homme autrefois si à l’écoute le snobe. [...]

Quand survient l’assassinat de Samuel Paty, [Souâd Ayada] ne mâche pas ses mots dans la presse contre l’islamisme et les lâchetés collectives dans la société. Elle explique aujourd’hui : « Depuis cet assassinat, les esprits ont cédé. Combien de professeurs oseront encore aborder le sujet des caricatures de figures religieuses ? Une censure intime et profonde est à l’œuvre, et on assiste à un brouillage complet du sens de la liberté d’expression. Les idées qui sous-tendent ce brouillage sont graves : d’une part, on présuppose que la liberté d’expression a moins de valeur à nos yeux que les convictions religieuses, d’autre part, on pose que ces convictions sont indiscutables et qu’elles doivent être acceptées comme vraies sans examen. » Vient ensuite le « tournant républicain » du président, avec le discours des Mureaux, annonçant la création d’un institut pour refonder « une filière française d’excellence en islamologie ». [...]

La création juridique de l’IFI a lieu la même semaine que l’installation de la nouvelle organisation de l’islam de France, le Forif. Un amalgame délétère se confirme au nom de ce qui ressemble à une pure opération politicienne. Or Souâd Ayada n’a cessé de souligner la vocation scientifique de l’Institut et de manifester la plus grande réticence à l’égard des récupérations politiques dont fait l’objet tout ce qui a trait à l’islam en France. La confusion est complète quand on met en avant… la formation des imams. Son attachement à la laïcité, qui lui a valu sa grâce, va lui valoir sa disgrâce. [...]

[Blanquer] Les accents anti-wokes du discours des Mureaux lui feront pousser des ailes dans sa croisade contre l’islamo-gauchisme à l’université, début 2021. Aujourd’hui, il dit à ses proches regretter le peu de soutien, à l’époque, de ses collègues et des milieux pro-laïcité, et estime que c’est cet épisode qui a sonné son heure. Quand la Macronie canal historique l’a laissé seul face à la vindicte de la bruyante gauche wokisante, désireuse de le bouffer. Ces lâcheurs, aux convictions jugées peu républicaines par Blanquer, s’appellent Castaner, Attal, Séjourné ou Guerini. Sans oublier Alexis Kohler, avec son vieux fond de gauche sociétale.

Quand arrive la fin de l’année 2021, la présidentielle a démarré, mais le discours des Mureaux a déjà une grosse année, et Blanquer se sent affaibli. Malgré tout, il incite son ami Gilles Clavreul, du Printemps républicain, à venir travailler avec la majorité et à présenter des candidats aux législatives. De même qu’il pousse déjà pour que son amie l’actrice et militante laïque Rachel Khan – nommée à la tête d’un groupe de travail sur la laïcité – soit ministre de la Culture. Il la conduira elle aussi à une fausse joie : pour couper l’herbe sous le pied de Rachel Khan, le flanc « sociétal » de la Macronie fait perfidement diffuser des listes de ministres avec son nom à la Culture. Elle tombera d’ailleurs de haut et reprochera directement au président par texto de l’avoir laissée se faire manipuler. Cette nomination à la Culture de Rachel Khan était l’idée officieuse d’une tribune que Jean-Michel Blanquer a fait publier dans le Parisien, en avril 2022, en compagnie du trio Raffarin-Chevènement-Valls. L’objectif officiel ? « Acter une refondation autour d’un arc central et républicain profondément renouvelé et suffisamment robuste pour résister aux pressions des extrêmes. » [...]"


Voir aussi dans la Revue de presse les dossiers Macron et les laïques : la drague ?, Macron chez les évêques de France (9 avril 2018), Macron et la Loi de 1905, Macron contre le "séparatisme" (2020-21),
"Macron et les francs-maçons : le bras de fer" (Le Figaro Magazine, 8 juin 18)
H. Peña-Ruiz : "Monsieur Macron, encore un effort pour être laïque !" (Marianne, 3 fév. 22)
le Document "Les macronistes et la laïcité : un électorat plus proche de la ligne Bouvet que de la ligne Bianco" (IFOP, 25 mars 19),
dans les Initiatives proches, Ph. Foussier : "Cette neutralité qu’on exige des fonctionnaires, il faut qu’elle retrouve du sens au plus haut niveau de l’Etat" (GODF, 1er mai 18), les dossiers Printemps républicain, Jean-Pierre Chevènement,
les communiqués du Comité Laïcité République Macron, « en même temps » laïque et clérical ? (CLR, 21 juil. 21), Loi "principes de la République" : beaucoup reste à faire (CLR, 3 mars 21), Les occasions manquées du projet de loi confortant le respect des principes de la République (CLR, 22 jan. 21), Défendons la loi de 1905 contre ses ennemis, ses adversaires, ses faux amis (CLR, 9 déc. 20) , "Séparatisme" : plusieurs propositions du président vont dans le bon sens (CLR, 2 oct. 20), Laïcité : Macron fait un pas dans la bonne direction (CLR, 26 av. 19), Loi de 1905 : le Comité Laïcité République note avec satisfaction l’évolution du président (CLR, 20 mars 19), L’adoption définitive de la loi « Société de confiance » remet en cause la Loi de Séparation (CLR, 23 juin 18), Un président de la République a pour devoir de ne reconnaître aucun culte (CLR, 10 av. 18), Promouvoir la Laïcité : Appel au président de la République (CLR, 9 déc. 17), Loi "Société de confiance" : le CLR écrit à l’exécutif (CLR, 5 déc. 17) (note de la rédaction CLR).



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