(Marianne, 1er jan. 21). "La France a bouffé du curé pendant un siècle et demi, il est temps maintenant de bouffer de l’imam" (Soheib Bencheikh, ex-mufti de Marseille, membre fondateur du CFCM).
(Collectif laïque national, 11 jan. 21). "La mort de Samuel Paty n’aurait-elle servi à rien ? L’État et l’Éducation Nationale ont-ils vraiment pris en compte la gravité des événements et le malaise du corps enseignant ; ont-ils compris que l’instruction représente la cible idéologique des Islamistes et de leurs alliés ?"
(G. Durand). A propos de Serons-nous submergés ? d’Hervé Le Bras (L’Aube, Fondation Jean Jaurès). "La progression de l’épidémie dans l’espace ne dépend ni du degré d’urbanisation, ni du niveau de pauvreté, ni de la proportion d’immigrés ni, enfin, de celle des personnes âgées."
(lemonde.fr , 9 jan. 21). "Vous ne pouvez pourtant ignorer le combat de nombre d’associations de femmes africaines contre la polygamie. En France même, des études montrent les dégâts de cette pratique sur les femmes et les enfants."
(V. Toranian, revuedesdeuxmondes.fr , 11 jan. 21). "L’enseignante est présentée comme une raciste proche de « l’extrême droite », ce qui est désormais, hélas, le lot de trop de militants laïcs qui osent afficher leurs convictions."
(S. Mayol). A propos de Les Impatientes, de Djaïli Amadou Amal (éd. Emmanuelle Collas). "Un roman choral dénonçant la condition des femmes en Afrique sahélienne à travers les destins croisés de trois femmes, mariées de force."
(Le Point, 2 mai 19). "Sciences po est devenue la tour de Babel de l’idéologie diversitaire occidentale."
(jan. 21). "Des années 1880 à 1905, année où est votée la loi sur la séparation des Églises et de l’État, la France a été le théâtre de confrontations souvent violentes. L’école devient l’épicentre de tensions sur la laïcité, la satire et la place de Dieu dans la République et les dessins incisifs de caricaturistes des deux camps fleurissent dans les journaux."
(St. Beaud, G. Noiriel, Le Monde diplomatique, jan. 21). "Le langage racialisant qui présente la couleur de peau comme la variable déterminant l’ensemble des pratiques économiques, sociales et culturelles de nos concitoyens écrase la complexité et la finesse des relations sociales et des rapports de pouvoir."
(M. Sifaoui, lejdd.fr , 26 déc. 20). "Ce que les islamistes appellent "crime d’apostasie" reste une pierre d’achoppement."
(Marianne, 1er jan. 21). "La France a bouffé du curé pendant un siècle et demi, il est temps maintenant de bouffer de l’imam" (Soheib Bencheikh, ex-mufti de Marseille, membre fondateur du CFCM).
(Collectif laïque national, 11 jan. 21). "La mort de Samuel Paty n’aurait-elle servi à rien ? L’État et l’Éducation Nationale ont-ils vraiment pris en compte la gravité des événements et le malaise du corps enseignant ; ont-ils compris que l’instruction représente la cible idéologique des Islamistes et de leurs alliés ?"
(G. Durand). A propos de Serons-nous submergés ? d’Hervé Le Bras (L’Aube, Fondation Jean Jaurès). "La progression de l’épidémie dans l’espace ne dépend ni du degré d’urbanisation, ni du niveau de pauvreté, ni de la proportion d’immigrés ni, enfin, de celle des personnes âgées."
(lemonde.fr , 9 jan. 21). "Vous ne pouvez pourtant ignorer le combat de nombre d’associations de femmes africaines contre la polygamie. En France même, des études montrent les dégâts de cette pratique sur les femmes et les enfants."
(V. Toranian, revuedesdeuxmondes.fr , 11 jan. 21). "L’enseignante est présentée comme une raciste proche de « l’extrême droite », ce qui est désormais, hélas, le lot de trop de militants laïcs qui osent afficher leurs convictions."
(S. Mayol). A propos de Les Impatientes, de Djaïli Amadou Amal (éd. Emmanuelle Collas). "Un roman choral dénonçant la condition des femmes en Afrique sahélienne à travers les destins croisés de trois femmes, mariées de force."
(Le Point, 2 mai 19). "Sciences po est devenue la tour de Babel de l’idéologie diversitaire occidentale."
(jan. 21). "Des années 1880 à 1905, année où est votée la loi sur la séparation des Églises et de l’État, la France a été le théâtre de confrontations souvent violentes. L’école devient l’épicentre de tensions sur la laïcité, la satire et la place de Dieu dans la République et les dessins incisifs de caricaturistes des deux camps fleurissent dans les journaux."
(St. Beaud, G. Noiriel, Le Monde diplomatique, jan. 21). "Le langage racialisant qui présente la couleur de peau comme la variable déterminant l’ensemble des pratiques économiques, sociales et culturelles de nos concitoyens écrase la complexité et la finesse des relations sociales et des rapports de pouvoir."
(M. Sifaoui, lejdd.fr , 26 déc. 20). "Ce que les islamistes appellent "crime d’apostasie" reste une pierre d’achoppement."
(Paris, 14 déc. 19). Avec Philippe Guittet, Dominique Schnapper, Charles Coutel, Jean-Louis Auduc, Eddy Khaldi, Jacques Lamagnère, Hanane Pernel, Jean- Pierre Sakoun.
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(Collectif laïque national, 11 jan. 21). "La mort de Samuel Paty n’aurait-elle servi à rien ? L’État et l’Éducation Nationale ont-ils vraiment pris en compte la gravité des événements et le malaise du corps enseignant ; ont-ils compris que l’instruction représente la cible idéologique des Islamistes et de leurs alliés ?"
15 janvier
Charles Coutel, universitaire (Université d’Artois), directeur de l’Institut d’étude des faits religieux, vice-président du CLR.
(Ch. Coutel). "Le soutien à la cause républicaine suppose une volonté de transformer ma citoyenneté républicaine en un engagement total ; cette affirmation exige une argumentation et non des incantations."
Décembre 2020
Jacques Lamagnère, enseignant, directeur d’école, président du CLR Ile-de-France.
(J. Lamagnère). "Nous avons à faire à une véritable colonisation culturelle."
Décembre 2020
(déc. 20). "Ce constat est pour nous un film d’horreur. Si l’armée ne peut pas protéger Mila et lui permettre de poursuivre sa scolarité, que pourrions-nous faire, nous ses parents, pour la protéger ?"
Décembre 2020
Le CLR organise chaque année la remise du Prix de la laïcité.
Galerie photo du Prix de la laïcité 2018
Les articles sur le prix de la laïcité ...
« J’ai moins peur des extrémistes religieux que des laïques qui se taisent. » Charb, président du jury, lors de la remise du Prix de la Laïcité, le 8 octobre 2012 à l’Hôtel de ville de Paris.
(Prix de la Laïcité, 5 nov. 19). La laïcité "est attaquée de toutes parts. De façon spectaculaire et hélas tragique, sanglante, meurtrière, lorsque le terrorisme islamiste frappe. De façon plus sournoise, insidieuse, rampante, lorsque le communautarisme ronge le pacte républicain et la vie en collectivité, et assigne à résidence des individus, et d’abord des femmes, en les cloîtrant derrière les murs d’une identité rétrécie."
(Prix de la Laïcité, 5 nov. 19). "Cette maison vous accueille depuis dix ans avec une forme de militantisme."
(Prix de la Laïcité, 5 nov. 19).
(Prix de la Laïcité, 5 nov. 19). "Au plaisir de recevoir le Prix national de la Laïcité, se mêle, je dois l’avouer, comme un léger pressentiment d’être d’un seul coup devenue une cible et d’avoir à rejoindre le groupe grandissant des accusés subissant les réquisitoires journalistiques ou informatiques de dizaines de procureurs autoproclamés et se disant très en colère."
(Prix de la Laïcité, 5 nov. 19). "Je pense très fort à Mohamed Cheick Mkhaitir et je tiens à saluer ce bloggeur mauritanien qui a été condamné à la peine de mort pour “blasphème” et ensuite emprisonné pendant 5 ans et 7 mois pour son combat contre l’utilisation de la religion pour justifier l’esclavage. Il continue à courir des risques et reçoit des menaces même en exil ici en France."
(Prix de la Laïcité, 5 nov. 19). "Nous refusons d’être plus exigeants en droit et en dignité pour ceux qui nous ressemblent, et moins pour ceux qui ne nous ressemblent pas, la tolérance n’est alors qu’un faux nez de la condescendance."
(Prix de la Laïcité, 5 nov. 19). "Le plaisir de la démarche scientifique tient justement à ce qu’elle envisage le monde qui nous entoure sans recourir à une quelconque vérité absolue métaphysique ou divine."
(Prix de la Laïcité, 5 nov. 19). "Le multiculturalisme, c’est tellement sympa ! On reconnaît toutes les communautés, on les finance, on dialogue avec elles, on leur reconnaît des droits différenciés…"
(Prix de la Laïcité, 5 nov. 19). "C’est pourtant bien la Gauche qui a allumé et maintenu la flamme laïque depuis 1789. C’est donc avec la plus grande inquiétude que nous constatons qu’une partie de cette Gauche a troqué cet idéal indépassable contre l’objectif minimaliste de faire coexister les communautés ethniques et culturelles sans qu’elles s’entretuent, ce qu’on appelle le « vivre-ensemble »."
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