2 février 2018
"[...] Entre la lutte contre le racisme et la lutte contre le fascisme, certains ont laissé tomber l’antifascisme au profit de la lutte antiraciste. Par ce choix tragique, ils ont décidé de fermer les yeux sur le totalitarisme que l’islam radical diffuse. [...]
Pour ces étudiants qui se croient antiracistes, les propos de Charb n’entrent pas dans le logiciel binaire qu’ils ont dans la tête. Les textes de Charb les confrontent à une complexité, à une réalité qu’ils ne supportent pas. Alors la solution la plus simple est de le faire taire. Demander l’interdiction de la lecture des textes de Charb est une insulte à la mémoire d’un homme qui a payé de sa vie le courage de dire une réalité qu’ils fuient lâchement. C’est aussi le symptôme d’une gauche en perdition, qui, entre l’antiracisme et l’antifascisme, a fait le choix catastrophique de mettre en opposition ces deux causes [...]."
Lire aussi Solidaires Etudiants et l’Unef veulent censurer Charb ! (M. Stasi, 25 jan. 18), "La deuxième mort de Charb, victime du terrorisme islamiste" (GODF, 26 jan. 18), la rubrique Le livre posthume de Charb, "Paul Yonnet, mémoires d’outre-tombe" (lefigaro.fr/vox , 30 sep. 17), L’ "intersectionnalité", un racisme inversé (K. Mersch) (note du CLR).
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