23 juin 2008
par I. Cabat-Houssais, M. Candea, C. Dumazeau, Th. Lancelot-Viannais, G. Stoll (Mix-Cité Paris).
“L’annulation d’un mariage au motif que l’épouse a tu à son futur mari la perte de sa virginité [1] a suscité un tollé dans la classe politique alors que l’adoption d’un projet de loi à la même période énonçant dans l’un de ses articles la possibilité d’organiser des cours séparés pour les filles et le garçons n’a indigné presque personne.”
[1] Voir la rubrique Mariage annulé, l’épouse n’était pas vierge (2008) (note du CLR).
Isabelle Cabat-Houssais, professeure des écoles ; Maria Candea, enseignante-chercheuse ; Cécile Dumazeau, enseignante-chercheuse ; Thomas Lancelot-Viannais, conseiller principal d’éducation et Guy Stoll, parent d’élèves, tous militants de l’association Mix-Cité Paris (Mouvement mixte pour l’égalité des sexes).
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